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" Ce ne sont plus mes souffrances qui se servent de moi, mais bien moi qui me sers d'elles !

Grâce à la peinture j'ai enfin repris le contrôle."

 

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Anna Joffo, petite nièce de Joseph Joffo, auteur du Sac de billes,  est née le 4 mai 1986.

Sa grand-mère Betty Nebot étant artiste peintre abstraite, Anna a depuis l'enfance baigné dans un univers créatif, et c'est donc naturellement qu'elle a été attirée par le monde de l'art...

À l’âge de 10 ans elle participe à ses premiers cours de dessin pour adultes ( croquis de nus) dans un centre artistique.
Depuis lors l'art et la peinture n’ont cessé d’accompagner sa vie.

Après le lycée et son bac L option arts plastiques en poche, elle suit des des études d'arts en entrant à l'ESAG Penningen, et l’année suivante à l’ECV de Paris où elle recevra son diplôme de conceptrice en communication visuelle.


Peu après, elle se tourne naturellement vers la peinture et se met à peindre des nus dont la facture et l’émotion séduisent Cathy Rozier qui lui propose d'exposer au sein de sa galerie.
Elle posera ensuite ses toiles à la galerie Frank Picon à Paris pour une exposition solo, et fera d'autres expositions dans divers lieux…


Après une pause pour la plus belle de ses oeuvres: son fils, Anna explore des domaines artistiques divers comme, la BD, en sortant  « les babillages de Babinette » chez Grrr…Art éditions, ou l’écriture de chanson, en écrivant des textes pour Princess Erika ou Singuila…


Après ces années de créations artistiques en tous genres, Anna revient enfin vers ses pinceaux et renoue avec romantisme et timidité avec ce premier amour qu'est la peinture !

 

Son travail, un mélange de force et de poésie, se tourne autour du thème de la femme. Elle y exprime aussi ses douleurs, celles de son enfance, ses souffrances, ses origines…

​"La féminité est pour moi quelque chose de très difficile, c'est à partir du moment où j'ai commencé à me sentir femme que j'ai le plus été malheureuse, mon corps devenait le support de mes angoisses, tocs et dysmorphophobie...

En peignant ces femmes, dans leurs diversités, je me libère de ces douleurs, je parviens à mieux supporter mes souffrances, car je me sers d'elles pour créer du beau.

Ce ne sont plus mes souffrances qui se servent de moi, mais bien moi qui me sers d'elles !

Grâce à la peinture j'ai enfin repris le contrôle.

ANNA JOFFO

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